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Souffrances des combattants
BORDECHING Christian (lieutenant allemand dans l’infanterie)
« Pour ce qui est de dormir ou de manger, ce n'est même pas la peine d'y penser. Il faut supporter les privations. […] Quand vient le vent du nord avec son épouvantable odeur de putréfaction ou avec la puanteur des grenades de soufre et de phosphore et quand le feu de batterie reprend, nos nerfs sont mis à rude épreuve ce qui nous déclenche des états de désespoir. Les moments les plus tendus sont à la tombée de la nuit, où l'on redoute le plus une attaque. »
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